Dans la Haute-Vienne, un châtelain part à la chasse contre les chasseurs qui envahissent son domaine touristique, au nom d'une tradition séculaire qui remonte sans doute à Obélix et les sangliers... Et les viandards sont en colère et menaçants envers ce brave homme qui souhaite le respect de sa tranquillité et celle de ses visiteurs. Je suis de tout cœur avec lui, par amour des animaux d'abord et pour lutter ensuite contre ces peigne-culs avinés. Sur un autre blog (parti aux oubliettes) je donnais un conseil à mes amis des bois, à poils et à plumes, qui était d'ériger une barricade dissuasive. Y faut dire que lorsque l'on croise ces mecs en gilet rouge, ah non, ça c'est leur tronche, donc orange ou jaune, arme posée dans la saignée du bras, ça fait peur. D'autant que maintenant le permis de flinguer dans les campagnes diminue de 50% par la grâce du locataire de l'Élysée. Eh, 5 millions de connards, pardon, de chasseurs... ça fait combien de votes ? Voici ma barricade, inspiration rue Gay-Lussac mai 68, mais celle-là est sponsorisée... et clic...

Difficile, en effet après l'article ci-dessous. Il faut laisser l'humour reprendre ses droits et quoi de mieux que les effets de muscle de notre Schwarzenegger franchouillard picardesque... Les CRS dans les facs, dont Nanterre, ça rappelle quelques souvenirs, la grève à la SNCF aussi. Ce qui est nouveau ce sont les expulsions musclées à NDDL. Y faut ce qui faut 2500 gendarmes mobiles pour déloger 250 zadistes. D'accord, y'a les vaches, les chèvres, les moutons... la boulangerie artisanale... tout un tas de gens qui ne demandent qu'à vivre et à produire sans assistanat... C'est plus facile de les virer que d'expulser les migrants en situation irrégulière. Les bien-pensants vont prétendre que je fais du racisme primaire. Disons que lorsque je constate à quoi servent les dizaines d'euros envolées de ma retraite, j'ai les boules... et un certain ras-le-bol des charlots qui nous gouvernent... quelque soit la tendance ou la couleur affichée... Vignette sans commentaire...